Publié le 22 janvier 2022 par pmx
Voici mon NOUVEAU LIVRE intitulé :
LA MÉDECINE…ART OU SCIENCE ?
Je suis CO-AUTEUR au sein de cet ESSAI COLLÉGIAL initié et coordonné par mon Ami le Pr Dominique LE NEN avec 8 autres mousquetaires d’écriture.
Il est publié chez les Éditions L’HARMATTAN et préfacé par André COMTE-SPONVILLE.
Il est disponible chez vos libraires indépendants
Je vous remercie chaleureusement pour votre accompagnement dans sa diffusion.
Publié le 09 décembre 2021 par pmx
Remise du PRIX LITTÉRAIRE SUZANNE RAFFLÉ DE CHEVANIEL 2020 en présentiel à Paris, décalé de 1an pour COVID également décerné à
Marine Mmx Moureaux, co-écrivaine et
Corinne Dechelette.
PRIX décerné par le cercle des Écrivains-Médecins : le GEM (créé en 1949) pour notre essai collégial : LA PEAU, UNE ŒUVRE D’ART EN SOI(e) chez
Donjon Éditions
Publié le 11 février 2021 par pmx
Publié le 30 juin 2020 par pmx
Je vous informe de la publication de mon nouveau livre. Cet essai vous propose un regard sous un prisme anthropologique et sociologique de notre rapport au Monde. Nous tissons depuis la nuit de nos origines un lien intimiste avec l’Arbre, et le monde vivant non humain. Nous évoluons dans un monde urbanisé, gadgétisé, déconnecté, oppressant, avilissant, stressant, terrassant. L’heure est venue de se glisser dans une parenthèse de réflexion interdisciplinaire pour opter vers d’autres voies comportementales, délestées de tout turbo-consumérisme et de toute arrogance humaine vis à vis d’une Nature co-opérante et co-évolutive.
L’Arbre est-il Pe@ulithique ?
Publié le 08 janvier 2020 par pmx
Je viens de publier un article intitule » NOTRE PEAU, DIVINE ET DIABOLIQUE » dans le dernier N° 184 du JOURNAL de médecine esthétique et de chirurgie dermatologique. Il sera en ligne sur https://www.dr-moureaux.fr/contact/
Publié le 05 septembre 2019 par pmx
Livr’à Vannes, est une fenêtre ouverte sur l’évasion écrirait Julien Green. Évasion culturelle proposée et orchestrée sous la houlette de Monsieur le Maire David Robo, du président Patrick Mahé, et de la directrice du salon Sylvie Rostain, en symbiose avec auteurs et lecteurs.
Les lecteurs durant cette parenthèse textuelle revêtent le rôle d’ acteurs de cette mise en scène tant appréciée et reconnue, car eux-seuls révèlent les auteurs, lancent les débats, les échanges et réveillent de futures idées d’écriture.
Nos libraires indépendants bien aimés perpétuent leur statut de passeur des Mots, entourés des petites mains qui déroulent une chorégraphie fluide en faisant virevolter les manuscrits de mains en mains pour la plus grande joie des lecteurs qui vont repartir avec leurs joyaux.
Mes mousquetaires d’écriture m’ont entouré et accompagné durant cette fête du livre, et contribué au succès de notre conférence et dédicace pour notre ouvrage transdisciplinaire et collégial intitulé : LE FABULEUX DESTIN DE LA MAIN, publié chez un jeune et talentueux éditeur qui ose.
Recevez Tous, lecteurs indéfectibles mes sincères et amicaux remerciements. Aussi, ici j'exprime toute ma reconnaissance affectueuse pour cette complicité partagée avec Marine MOUREAUX.
Publié le 14 avril 2019 par pmx
Publié le 14 avril 2019 par pmx
Cet essai transdisciplinaire se propose d’explorer la Main sous des facettes réflectives et complémentaires pour une vision holistique à travers les disciplines suivantes : anthro-paléontologique, anatomique, artistique, médico-chirurgicale, médiatique, littéraire, scientifique, méditative, numérique. Il est la synthèse d’une alchimie diluant le neuronal et le manuel, le cortical et l’amical, le vital et le collégial. Il est unique et multiple. C’est une invitation au voyage dans le monde du fabuleux destin de la main, « l’instrument des instruments » écrivait Aristote, en éclairant votre regard sous un prisme global, illuminé par une amitié collégiale et passionnée. « Tout est politique », écrivait Napoléon. La Main est-elle politique ? La politique favorisera-t-elle le manuel, manipulera-t-elle la main, la main éditera-t-elle un manuel pour le politique ? À l’heure de l’hégémonie du « digital », quel avenir peut-on imaginer pour la Main ? Va-t-elle résoudre l’énigme de son devenir en s’entrelaçant au génie numérique? Ce manuscrit tentera ici, au gré de nos divagations valéryennes avec vous, d’accompagner les pérégrinations darwiniennes de la Main. Léonard de Vinci (500ème anniversaire de sa mort le 2 mai 1519), et Paul Valéry tentèrent en vain d’éditer un traité sur la Main. Nous démontrons toute la réalité de la notion « d’intelligence multiple », combinant le cortical et le manuel. Dans notre propos la Main est dépeinte sous un autre visage. Nous portons un regard lumineux, solaire en valorisant l’étonnant pouvoir de la Main, « siège de l’esprit créateur » dirait Paul Valéry, le tabernacle du savoir-faire.
Ce manuscrit prendra toute sa valeur dans la quotidienneté de tous au sein des écoles, des BDI, des bibliothèques, des librairies indépendantes, des CFA, des médias, des politiques, des soignants.
Publié le 06 juin 2018 par pmx
Julien GREEN écrivait : « le livre est une fenêtre ouverte sur l’évasion ».Pour aller dans le même sens, la devise de l’association autour du livre orchestrée par Vincent SAFRAT son directeur, « lire c’est partir ».
Ecrire, c’est un nouveau départ, une « excursion dans la zone intérieure », j’emprunte ici le titre d’un livre de Paul Auster, un voyage dans le labyrinthe de nos interrogations, de nos angoisses, de nos réflexions, de nos émotions, de nos sentiments. Ce périple dans notre profondeur, peut être guidé via la peau, Paul Valéry ne disait-il pas que « ce qui est le plus profond chez l’homme c’est la peau ». Ce voyage dans nos profondeurs va permettre de découvrir une réflexion, un état d’esprit labyrinthique, une pause pour transcender notre quotidienneté, et le tout se métamorphose en expression organisée. L’écriture est une voix faible qui est réveillée par la lecture. Le lecteur révèle l’écrivain. Ce tandem prend tout son sens et sa puissance que si écriture et lecture combinent leur symbiose consentie.
L’écriture est un acte certes solitaire dans la créativité, dans son cheminement, mais l’écriture est avant tout un acte collectif et n’a de sens que si elle ne cesse de tendre des passerelles en direction des lecteurs pour enclencher l’échange. C’est l’échange qui donne du sens à l’écriture, c’est une forme de partage, écrire c’est s’ouvrir et c’est offrir.
L’écriture est un acte double à la fois esthétique et politique.
- Esthétique, Michel FOUCAULT parle du « souci de soi », ici je dirais le souci d’écrire, c’est avoir le souci de construire des textes harmonieux, sculptés, reliés, exposés, où la beauté est à la fois visible, lisible et audible. C’est le souci de lier le « bon et le beau », la lecture doit être belle et bienveillante, les mots soignent, on peut évoquer la notion de « bibliothérapie »
- aussi l’écriture est politique, Napoléon disait que « tout est politique » et si la peau est aussi politique, « SciencesPeau et pe@ulithique » pourrait être une nouvelle discipline des sciences humaines autour de la peau à l’image de sa consoeur SciencesPo de la rue Saint Guillaume à Paris, une interface où la peau ne serait plus l’élément, regardé, observé, mais l’élément observant en quelque sorte un observatoire et nous pourrions ainsi évoquer un certain nombre de thématiques sous le prisme épidermique, notamment le racisme , l’esthétisation du monde si cher à Gilles Lipovetsky, notre consumérisme sanitaire addictif, et bien d’autres que vous pourrez découvrir dans cet essai.
L’art est également politique et j’ai souhaité vous proposer une réflexion sur Peau et Architecture.
Je vous laisse découvrir ce texte.
Patrick Moureaux