Je vous livre quelques lignes de mon essai scientifique transdisciplinaire, grand public intitulé « LE SOLEIL DANS LA PEAU » publié chez Robert Laffont 2012.
« L’homo sapiens des temps postmodernes évolue dans une société stressante et anxiogène favorisant un comportement addictogène. Il est pressé, compressé, oppressé, harassé, phagocyté par sa quotidienneté. Notre comportement contemporain se singularise par son EXCES gadgétisé, dé-naturé face à l’abîme annoncé ; c’est le toujours plus dans la consommation formulée. La connaissance contemporaine se caractérise par sa représentation essentiellement PARCELLAIRE, experte, ésotérique, et intouchable, mais au demeurant SUPERFICIELLE. Aujourd’hui le PENSEUR évolue dans les strates complexes du savoir, il doit transfixer ce magma et émerger pour nous offrir l’accès à une connaissance lisible, allégée et assimilable, pour ne pas devenir une espèce en voie de disparition. Désormais nous devons penser GLOBAL.1
1 « LE SOLEIL DANS LA PEAU » Patrick Moureaux, Jean- Marc Bonnet-Bidaud, Alain Froment, Aymeric Petit. éditions Robert Laffont 2012
29 avril 2013 a 10 h 00 min
Une existence au ralenti prend vite le gout d’un voyage improvisé. Sachons stopper la spirale du monde extérieur afin d’avoir le courage de se retrouver pour se poser les bonnes questions. L’ennui n’est en rien néfaste à une construction intérieure et la possibilité de rever.
Alors oui la réflexion au soleil est alors un merveilleux outil d’épanouissement et de se projeter dans le temps( avec crème spf of course!…)…Tout est bon à bon escient